Aaaaah oui, la 688, Lebrac goûtant la sauce un peu piquante de Gaston ("Il fait Tarzan pour m'éblouir, le sot"), ça m'est arrivé de passer une demi-heure au bord de la crise d'apoplexie, à regarder et re-regarder chacune des expressions sur le visage de la victime.
Pour en terminer avec la bouffe, la soupe à la tomate: "Mais qu'a-t-il bien pu mettre, Rrrogntudju, dans sa soupe aux tomates?" Ah tiens, encore une: "Je vous renvoie vos albums ET LES DEUX HARENGS. Vous faites votre publicité comme vous l'entendez..." Et puis aussi le café: "Ménagez le matériel, rrogntudjuu" et de Mesmaecker choquant sa tasse et bousillant son Parkerman: "Alors ici, lu et approu.."
BOZ a écrit:Le dessin de Prunelle se tenant une main avec l'autre main et les 2 pieds, tout en rebondissant sur les fesses ( après être entré en contact avec le cactus de Gaston) reste un summun de la BD !
J'ai beau le connaitre par coeur, chaque fois que je lis ce gag, je suis chaque fois écroulé de rire...
Aaah oui, alors là, celui-là, oui, ça... Ce qui me fait le plus marrer, c'est les "Bom Bom Bom" qu'il fait en rebondissant. Rien qu'imaginer la posture d'un type en train de faire ça, c'est tordant.
Faut quand même avouer que toutes les expressions de Prunelle sont formidables. Je me régale de toutes les nuances de jurons. Par exemple:
- le Rrrogntudju habituel: "Votre Rrogntudju de cactus."
- le rrrogntudjuudrrrontudjuuudrogntudjuuuu rageur du type pris dans la ceinture d'insécurité, après s'être enfoncé (Ar... Arr... Râââh) dans le fauteuil: "Tu vas rire, la ceinture s'est prise dans la transmission. Si, si, essaie de bouger un peu la tête..."
- le Rrrogntûdjuuuuu télévisé, la bouche en cul de poule, franc, direct, impeccable.
Tout ça me fait penser que ça fait bien un an que je n'ai pas lu le moindre album. Bon, y sont où? C'est malin d'avoir découvert ce forum aussi tard le soir, faut que je me couche, moi!
P.S. Une dernière en partant, l'anniversaire de Sonia: "Vous allez rire: on sent des chevaux en plus."
P.P.S. Bon allez: la peinture du salon rajeunie pendant la nuit, les coups d'œil apeurés de de Mesmaecker, qui finit par empoigner son dossier, le regard fixe, les canines à l'air: "Laissez-moi sortir d'ici!"
P.P.P.S. Et comment oublier le lionceau dans la rédaction, Prunelle arrivant en courant pour ne pas faire attendre l'éternel signeur de contrats, avec toute la partie droite du pantalon disparue (et hop!). C'est d'imaginer le type entrant en courant dans cette tenue qui est trop drôle: "Bonjour, Monsieur de Mes
maecker..."