J'avais la foi, je croyais en Franquin. Je l'ai rencontré, en 87 ou 88. Depuis, je suis sont apôtre.
Et dire que tout avait commencé par une tasse de café renversée sur le pantalon de Raoul Cauvin.
C''était le bon temps.
Mais il reviendra ! Un jour,il ressuscitera, pour nous apporter le bon dessin.
Gloire à Franquin, au plus haut des cieux.